Table des matières
1ERE APPROCHE BLENDER
CONTEXTE
J’avais l’envie pour ce quadrimestre de me laisser la liberté d’expérimenter plusieurs logiciels différents, ayant très peu de connaissances sur le sujet je voulais développer une première approche et voir avec lesquels je me sentais la plus familière pour par la suite y élaborer un projet plus concret et abouti. Pure data, Blender, Touch designer était les 3 logiciels qui me donnait vraiment envie d’en apprendre plus. Je me suis tout d’abord penché sur Pure data et Touch designer, ou j’ai suivi pas mal de Tuto YouTube en parallèle d'un travail de documentation. La phase d’expérimentation s’est révélé plutôt complexe et décevante pour ma part, la plupart de la documentation était en anglais et le rapport temps passé / avancé ne me procurait pas une grande satisfaction, il me fallait plus de temps pour m’y consacrer pleinement. Je me retrouve donc au milieu du quadrimestre un peu perdue avec quelques bases sur ces différents logiciels, mais pas une très grande envie d’aller plus loin pour le moment. Suite à ça, je décide d’arrêter d’expérimenter plusieurs logiciels de manière simultané et plutôt de me focaliser sur Blender, qui est un logiciel open source de modélisation 3D et d’animation.
1ERS PAS
Tout d’abord j’ai appréhendé le logiciel par une première approche en autodidacte pour m’habituer à l’interface, comprendre les outils proposés, les raccourcis claviers et leurs prise en main. Après ça j’ai suivi toute une playlist de tutoriel en français de Bertrand Tech, il propose des tutoriels assez simple et accessible qui me permettait de me lancer et poser les bases du logiciel, c’est comme ça que j’ai réussi à réaliser mes premières modélisation 3D.
Petit à petit, les modélisations se complexifie et différents aspects du logiciel sont abordés comme les modifier, les matériaux, les éclairages, les scènes de fonds, le texte….
source: https://www.youtube.com/watch?v=WUqZkyFBtYshttps://www.youtube.com/watch? https://www.youtube.com/watch?v=N0fA3X2nDWk&list=PL_YIPTyDwH02kmggu_rGD3MNUqcu8VJZY
Aperçu de quelques unes de mes premières modélisations:
Maintenant que j’ai les bases de la modélisation, la volonté d’approfondir mes connaissances s’est fait ressentir. Je voulais aborder d’autres aspects du logiciel qui me permettrait de produire des modélisations plus travaillées et d'une manière d'avantage expérimentale, grâce au sculpting mode ou encore au modelling.
sources: https://www.youtube.com/watch?v=GH5fq_UgZ-A https://www.youtube.com/watch?v=Xxz_IjAz9P8 https://youtu.be/Su7WZoP0lBc?si=Iog9tJCAICdleDIm
VÉCTORISATION D'IMAGES
Par la suite m’est venue l’idée de trouver un moyen de modéliser dans Blender certaines de mes peintures digitales qui trainait dans mon ordinateur. Ayant un univers dans mes productions ou le pixel est exagéré et où la collision est recherché. Je voulais continuer sur cette ligne directrice dans l’optique de créer avec l’animation de nouveaux arrangements audacieux, jamais tout à fait solide ou entier mais pouvant offrir de multiples points de convergences, maintenant l’oeil en mouvement constant, équilibrant l’activité et la stase.
Pour cela je ne savais pas vraiment comment m’y prendre et s’y j’étais sur le bon logiciel pour faire ce genre de choses, car il fallait que je modélise des portions de pixels pour les faire migrer avec l’animation, à la façon d’un glitch. Je sais pas trop dans quoi je m’embarque m’enfin bref pas grave je me lance!
Première étape: il faut que je convertisse mon fichier .png au format .svg pour ensuite le modéliser sur Blender. J’ai donc utilisé une plateforme de conversion d’image / de fichier audio etc « convertio » https://convertio.co/fr/download/a03d6ab677a88f919b1290f6d81d6a2a903af0/
Une fois importer sur Blender au format svg, problème! Je me retrouve avec seulement une portion de mon sujet importer.
Je test alors en modifiant la colorimétrie depuis de ma peinture sur photoshop. Je me dis qu'en accentuant les couleurs pour créer d'avantage de contraste la véctorisation de l'image fonctionnera mieux… Je fait la même chose en jouant avec le seuil de luminosité depuis Inkscape j'obtiens des contours d'avantages présent, mais rien de réellement lisible.
Je comprend par la suite qu'une image vectorielle n'a pas pour but de produire une duplication exacte de l'image originale, ni de produire un résultat finalisé. Et qu'en réalité aucun outil de véctorisation automatique ne peut produire cela. Cette option utilise simplement la somme des composantes rouge, bleue et verte (ou la nuance de gris) d'un pixel pour déterminer s'il doit être considéré comme blanc ou noir. Le seuil peut être réglé entre 0,0 (noir) et 1,0 (blanc). Plus ce seuil est grand, moins les pixels considérés comme « blancs » seront nombreux et plus l'image intermédiaire sera sombre.
Je passe de ça à ça:
FACE BUILDERS
BREF… ne trouvant pas de solution à mon problème, je me suis amusé à modéliser ma tête en téléchargeant un plug-ins « face builders » écrit en language python par keentools. Cela se produit grâce à une cartographie biométrique, faites à partir de 4 photos (face, profils, dos) capturant des données faciales précises en projetant et en analysant des milliers de points invisibles, afin de créer une carte de profondeur et de modéliser un visage.
https://keentools.io/download/core
Le résultat n’est pas parfait, mais c’était marrant à faire! J’ai alors voulu tester les limites de la cartographie faciale et voir comment elle allée se débrouiller avec la tête de mon chat. Bien évidemment, elle ne détecte pas son visage, je place donc les points moi même, et j’obtiens un résultat complètement bancale mais assez fun.